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Cinq à sept
20 juin 2010

Stevenson, étape 3, Pont-de-Montvert - Florac ○ 1 juin 2010

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Nous sommes tous requinqués par cette nuit dans un vrai lit. Comme chaque matin, nous prenons notre temps. Petit déj' au bar du Commerce, courses pour le pique nique dans les boutiques de Pont-de-Montvert. Je fais la tête pourtant: ils ont acheté des saucisses et veulent les faire griller ce midi et c'est carrément interdit et je n'aime pas ça (les choses interdites et les saucisses). Nous partons après 9H30. Démarrage en côte! Très vite nous dominons ce village aussi beau d'en bas que d'en haut. Il fait très beau: chapeaux et crème solaire de sortie. En croisant un ruisseau, V. a très envie d'aller y faire trempette (pour elle et B., c'est le dernier jour de rando, le premier jour de soleil: il faut en profiter). L'eau est glaciale. Nous sommes quatre sur six à tenter la baignade. C'est un vrai "t'es pas cap": les pieds font mal, les cailloux sont glissants... mais, devant les autres, il faut faire les malins! On réussit tous les quatre à se mouiller (ce serait un peu exagéré de dire que l'on s'est baigné). Il ne faut pas trop traîner: l'étape est longue (28km en 8 heures annoncés sur le guide). D'ailleurs ça recommence à monter... sous le soleil. Nous doublons un groupe de joyeux messieurs accompagnés d'une ânesse qui a décidé de faire sa pause juste avant une côte particulièrement raide. Nous nous arrêtons au sommet et nous abritons entre des rochers. Le vent étant trop fort, la végétation fort sèche (et moi assez râleuse), nous renonçons aux grillades et au feu de camp (ouf!). Après la sieste, c'est parti pour une longue (très longue) descente (juste devant le groupe des papis). Au début la vue est magnifique, nous sommes sur une crête. Nous passons devant une vieille cabane: des pierres noires de suie, confirment qu'il est possible de faire du feu ici (argh!!!! je me fais chambrer, pardi!). Ensuite nous passons du sentier pierreux et sauvage à un chemin forestier très ennuyeux... et très long. Nous en avons tous plein les pattes! Et là un petit panneau jaune va semer la zizanie (enfin je ne suis pas sûre que ce soit le panneau!): il est 17H, faut-il choisir le GR Stevenson qui nous promet encore deux heures de marche ou l'itinéraire bis deux fois moins long en Km?  C'est G. qui prend la décision: on prend le chemin prévu, le plus long. V. et B. ne sont pas ravis, mais stoïques. S. est furax, surtout contre son mari qui a pris le parti de son copain. L'ambiance est un peu lourde, la route toujours aussi monotone. Jusqu'à ce que S., à bout, refile son sac à dos à JC (qui le lui avait proposé pour faire passer la pilule!) qui part devant presque en trottinant (autant avoir mal moins longtemps). Nous nous retrouvons à Bédouès: l'abcès est crevé, G. en prend pour son grade et nous rions tous de JC chargé de ses deux sacs... mais chacun repart avec le sien, par la route (plus court mais moche et dangereux... à éviter). Heureusement nous trouvons tout de suite le camping que j'avais repéré sur le net: il est sympa, même si nous arrivons trop tard pour profiter de sa piscine. Nous nous contentons facilement d'une bonne douche chaude avant d'allumer un barbecue et d'enfin déguster les saucisses achetées à Pont-de-Montvert: et j'avais eu tort de râler, car ces saucisses sont à tomber, des saucisses dites "aux herbes" qui sont en fait aux blettes... (j'ose raconter qu'en plus nous nous payons des frites et des bières pression? Je sais, ça ne fait pas très chic!) Et comme si nous n'avions pas assez marché, nous faisons l'aller retour à Florac... pas très très animée un soir de semaine du mois de juin!

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17 juin 2010

Stevenson, étape 2, les Alpiers - Pont-de-Montvert ○ 31 mai 2010

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Ce matin, le temps est encore bien maussade: toujours du vent, de la pluie parfois et un peu de brouillard par endroits. Pas très pressés de partir. En plus on se sent tellement bien chez Myriam et Claude: le petit déjeuner est à la hauteur du dîner de la veille. Les confitures "maison" sont excellentes. Nos colocs d'une nuit partent bien vite... Nous trainons. Au fil de la conversation, nous apprenons que nos hôtes doivent monter à la station du Mont Lozère... Ni une ni deux, c'est arrangé: ils vont y aller avec nos sacs, nous ferons la grimpette plus légers (faut pas le dire, hein!). Et effectivement, ça monte! Je suis particulièrement fatiguée, me traine dans les grandes côtes. Au Bleymard nous faisons quelques courses, de quoi grignoter.

Quand nous arrivons à la station (de ski, bien sûr, et cette année il y a eu pas mal de neige), le sommet est caché par un épais brouillard. Nous récupérons nos sacs et prenons un repas chaud au restaurant, choisissant une table à côté de la cheminée: nous sommes mouillés, surtout l'équipe des sans poncho! Toutes les personnes avec lesquelles nous discutons (personnel et autres randonneurs), nous conseillent de prendre un raccourci qui évite le sommet: temps trop mauvais, mauvaise visibilité, vent encore plus fort là haut... Rien de tel pour inciter certains à aller coute que coute voir ce fameux sommet de Finiels. S. et moi sommes plus prudentes: c'est idiot d'aller se fatiguer et se geler pour rien, pour ne rien voir! Mais les nuages ont l'air de prendre un peu d'altitude et de s'éclaircir... alors on se laisse convaincre. Et on fait bien. Le temps s'arrange, il ne pleut plus. Le vent est effectivement très fort, mais il nous pousse, nous sommes portés. Nous longeons des  montjoies (grandes pierres taillées plantées dans le sol  pour jalonner le chemin). Au sommet nous avons quand même une belle vue... personne ne regrette.1699m point culminant de notre randonnée.

La descente commence par quelques boules de neige. Mais elle est assez raide, caillouteuse et il faut vite se concentrer sur nos pieds: finalement c'est plus fatiguant que la montée. Nous sommes maintenant sur le versant sud du Mont Lozère.  Nous arrivons dans le pays des Camisards. Le paysage change. Les temples sont plus importants que les églises. A Finiels, premier village que nous traversons, nous remarquons de vieilles tombes dans certains jardins.

Comme la veille, nous arrivons vers 18H. Notre gîte est à Pont-de-Montvert. Un gîte, avec de vrais lits... Le bonheur! J'ai réservé aux "gîtes du Chastel". Le propriétaire nous accueille. Toutes ses locations sont occupées par des randonneurs: nous ne sommes pas les seuls à avoir choisi cette semaine du début du mois de juin pour marcher sur les pas de Stevenson! Après une bonne douche, nous repartons au village pour notre rituelle bière du soir, au bistrot du coin cette fois ci, suivie d'un bon repas au restau (on ne va pas se laisser abattre!). La nuit promet d'être belle...

14 juin 2010

Stevenson, étape 1, la Bastide Puylaurent - les Alpiers ○ 30 mai 2010

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Au réveil, contents de ne pas trouver la pluie que nous attendions, nous plions vite nos tentes et bouclons nos sacs. V. se plaint de n'avoir quasiment pas dormi à cause de son matelas trop fin, du sol trop dur. Il y a eu aussi le brouhaha incessant de la rivière... Je crois que l'on manque tous de sommeil. J'ai l'impression d'une nuit en pointillés, mais qui a passé assez vite. On apprécie le petit déjeuner avec des croissants tout chauds (il se rattrape bien Aimable!). Mais il y a un petit nœud au creux de mon ventre: la rando va vraiment commencer, nous n'aurons plus la voiture, plus possible de faire demi tour; ce premier camping n'était pas idyllique, est ce que les autres endroits que j'ai choisis vont leur plaire, est ce que nous allons bien nous entendre?...

Nous partons, peu après neuf heures, de la gare de la Bastide. Il fait assez beau. Nous montons, lentement mais sûrement. L'odeur des genêts est assez entêtante. Le vent souffle dès que nous sommes à découvert. Des randonneurs qui nous doublent lors d'une pause (mais on est bien sûr qu'ils ne portent pas de tente, eux!!!), nous demandent si nous n'avons pas perdu un chapeau noir: et si, c'est le mien. JC part me le chercher, en courant! Pendant toute la journée nous nous demandons si ces plantes  à petites feuilles qui recouvrent le sol des forêts que nous traversons, sont bien des myrtilliers: G. affirme que dans les Vosges, ils ne sont PAS DU TOUT comme ça...

Nous pique niquons à Chasseradès, devant  l'église, pour finir sous son porche qui nous abrite du vent et de la petite pluie fine qui commence à tomber. Il faut sortir les vêtements de pluie. Deux groupes de trois: le groupe ponchos et le groupe "beaux". Oui, car les ponchos rendent vraiment laid: trois Quasimodo recouverts de plastique, le premier prix de mocheté décerné à l'unanimité à JC et son poncho publicitaire reçu lors d'un marathon! Je fais partie de ce premier groupe: c'est rudement pratique et j'ai horreur d'être mouillée. Les motivations du groupe "beaux" sont diverses. G. met un point d'honneur à ne pas avoir les équipements conventionnels, à ne pas suivre les conseils des randonneurs aguerris (en l'occurrence ses parents et sa sœur), bref à paraitre amateur: s'il peut doubler un groupe avec du top matos et  faire style "je ne paye pas de mine mais je vous gratte tous", alors là il est ravi! V. aime ce qui est beau, s'habille toujours avec beaucoup de goût... et n'accepte pas de faute de goût... même sous la pluie, même avec un sac sur son dos. Quant à B., on ne le connait pas encore bien...

Le chemin monte pas mal, presque tout l'après midi. Les nuages se jouent de nous: dès que nous mettons nos super ponchos, la pluie s'arrête... pour reprendre dès que nous les quittons. Première journée, on papote beaucoup. Moi et S. avons un peu de mal à suivre quand ça monte "raide". La nature est très verte. Fleurie aussi (mais je n'y connais rien en fleurs et mes copains non plus!). Sous bois, points de vue au sommet de certaines collines, prairies, ruisseaux. Nous passons à côté de la source du Lot que nous longeons en fin de journée. Vers 18H nous arrivons à notre première étape: les Alpiers et son Tipi. Nous sommes accueillis par Myriam, Claude et leurs filles. Le Tipi est planté dans leur jardin, avec une belle vue sur la vallée. Comme il pleut, il vente et il fait froid, nous nous réchauffons dans le salon de nos hôtes, devant un bon feu de bois. Le tipi est prévu pour huit, nous sommes six: toute la journée nous nous sommes demandé quel couple de randonneurs va passer la nuit avec nous. Finalement ce sont David et Estelle: deux jeunes toulousains.  Quand nous arrivons , ils sont installés et boivent une tisane. Nous préférons la bière (c'est peut être pas très chic...). Après un kir à la châtaigne, nous partageons un excellent repas: convivial, gai, animé... Quel sens de l'hospitalité! Mais il faut bien aller se coucher: traverser la pluie, la nuit. Le vent s'engouffre dans la tente. A chaque bourrasque je crois que ma dernière heure a sonné! S. détend bien l'atmosphère en entonnant un chant indien: fou rire de nous six dans le noir, alors que le jeune couple fait mine de dormir déjà...

10 juin 2010

Stevenson, étape 0, Lyon-la Bastide Puylaurent ○ 29 mai 2010

Pas vraiment une étape, cette étape 0, mais quand même... Se retrouver à 6, charger nos sacs à dos, première nuit sous tente...

Après un petit déj royal chez les parents de G., nous sommes descendus à Lyon. Nous, c'est à dire mes beaux parents, G. et moi, et nos amis d'ici, S. et JC, qui nous accompagnent pour la fameuse randonnée. Beaucoup de temps à essayer de faire de bonnes affaires chez Cotelac et ses soldes privés (bredouille), un p'tit tour à la Fnac pour acheter une sacoche-photo spéciale rando (trouvée) et recherche de chaussures pour S. (bredouille aussi). Boire un petit coup en terrasse au soleil. Prendre le temps. Repas délicieux. Boucler nos sacs à dos. Prendre un peu trop de temps... et être franchement en retard pour récupérer V. et B. à la gare de Perrache.

Ça y est, c'est le départ: à 6 dans le Scénic, sacs à dos bien remplis, coffre de toit indispensable; mais pour remplir à bloc une voiture on est rodé!

En fin d'après midi, nous arrivons à la Bastide Puylaurent, point de départ de notre périple. La Bastide a une gare et se trouve en plein milieu du chemin de Stevenson; le Topoguide conseille d'en partir pour faire une rando d'une semaine: j'ai été bête et disciplinée dans mon organisation. Dans mon "cahier des charges" d'organisatrice (oui, ce voyage est un cadeau, mais c'est quand même moi qui me suis tapé tout le boulot en amont, et le stress de savoir si ça allait plaire aux uns et aux autres), il fallait prévoir des nuits sous tente (moins cher, plus d'aventure et d'exploit sportif... que des inconvénients pour moi, mais j'ai su prouver qu'en arrivant à la quarantaine je sais un peu mieux rester cool... même quand je dors hyper mal sur ces matelas fins qui flinguent le dos!). Donc première nuit au camping, sur les bords de l'Allier. Nous avons planté nos tentes sur un emplacement assez sauvage, en bord de rivière, mais seul endroit bénéficiant d'un peu de réseau: nous avons donc vu défiler tous ceux qui avaient un coup de fil à passer! Petit tour au village pour y prendre l'apéro au bistrot: les papis du pays en train d'y taper le carton et des randonneurs, pardi! Forcément nous nous sommes gentiment moqués de ces petits joueurs qui allaient dormir dans un vrai lit (que je les ai enviés!!!). Ensuite pique nique et au lit, nos hôtes (surnommés pour l'occasion Aimée et Aimable) ne nous ayant pas franchement donné envie de veiller... De toute façon faut être en forme pour les 7 heures de marche du lendemain et la météo annonce de la pluie!

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petites pensées sauvages

28 mai 2010

Modestine

Juste deux mots pour vous dire que je m'absente quelques jours.
Sac à dos, chaussures de rando...
Mes bagages ne sont pas encore prêts.
Je ne rentre déjà plus dans le pantacourt spécial acheté il y a deux semaines rien que pour ça.
Je suis sûre que je vais oublier quelque chose...
Non, non, non, suis pas du tout stressée!

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au fait on va

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12 avril 2010

Milieu de vacances

Lundi matin ensoleillé. Monsieur est parti au boulot. On a dû réveiller Thomas car son ordi était resté dans la chambre du bébé... Comme on dirait ici "c'est ballot"! Il tousse un peu, regarde un livre, me laisse tapoter sur mon clavier.
Lucile dort encore. Sa mamie Mado partage sa chambre depuis samedi. Plus besoin pour moi de monter à plusieurs reprises le matin pour guetter son réveil. Étant donnée l'heure à laquelle elle se réveille depuis l'arrivée de sa grand mère,  je me demande si je ne la réveille pas, d'ailleurs, chaque matin, en faisant grincer les marches de l'escalier!
Nous ne sommes donc pas partis en vacances la semaine dernière... et je ne le regrette pas du tout! La première semaine de nos vacances a été très agréable. Mon grand a bien profité de son séjour avec son cousin. Il  s'est aussi habillé pour l'été: les achats en ville et sans sa mère, c'est beaucoup mieux... pour tout le monde. En plus ses choix me plaisent beaucoup: bonne opération! Miss n°3 s'est très vite remise de sa gastro et je ne l'ai quasiment pas vue de la semaine. Et ma grande s'est enfin décidée à inviter une copine. Je l'ai redécouverte gaie et pleine d'entrain avec cette nouvelle amie (vive l'entrée en 6°). Elles ne m'ont même pas demandé d'allumer la télé: exceptionnel! Jeux dans le trampoline, pâte à modeler (petit retour côté enfance) et balade entre filles (et sans moi) dans la rue commerçante du Touquet (petit tour du côté de l'adolescence cette fois là). La maison ressemblait à ce que j'aime: vivante, pleine d'allées et venues, les matelas toujours sortis pour accueillir les copines pour une nuit ou plus. Des repas très simples ("on les fait à quoi les pâtes ce soir?") pour le plus grand plaisir des gamines, Monsieur étant absent puis convalescent, car atteint lui aussi par le virus maison (je vous laisse imaginer l'arrêt catastrophe sur la bande d'arrêt d'urgence et la tête de ses collègues!).
Les vacances, le beau temps... je suis en mode rangement! Et faut pas louper le coche, ça ne me prend pas souvent. Dans ces moments là je crois sincèrement qu'après une bonne réorganisation de la maison, chaque chose va reconnaitre sa place et l'ordre se faire quasi automatiquement. Ça ne dure en fait que très peu de temps. Notre petit bo***l maison se réinstalle bien vite. Hier, Monsieur m'a construit de magnifiques étagères: elles ne vont pas rester vides bien longtemps! Cette semaine je compte aussi aller faire un tour chez Ik*a pour trouver de quoi ranger les jouets des bébés: ils grandissent, et il est temps pour eux d'avoir leurs jouets accessibles, je pense dans la chambre de Thomas qui est au rez de chaussée. Du pain sur la planche encore cette semaine!

Il devrait y avoir une photo de Thomas ici, mais impossible de la charger ce matin... pour plus tard!

Samedi Mon grand est rentré avec Mamie Mado et les enfants d'une amie: ce voyage a été mouvementé à cause des grèves, mais ils sont tous arrivés à bon port. Cette semaine, nous sommes nombreux, mais j'ai une aide précieuse... elle promet d'être bien remplie.

19 février 2010

Semaine 7

Semaine en trois parties.

D'abord quelques jours seule avec bébés et parents: ça c'est la partie très reposante de la semaine! 3 adultes pour 2 bébés: l'idéal!

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L'abeille fait pic-pic-pic!

Ensuite le voyage: j'adore le train et rester quasiment une journée à bouquiner tout en allant sur le lieu de mes vacances... le rêve. A mi-trajet j'ai rencontré mon frère. Je ne le vois que très rarement, mais toujours avec plaisir, même quand c'est très court, même quand c'est dans un bistrot gare du Nord, même quand il n'y est pas seul.

Enfin quelques jours à la montagne en famille et avec des amis. Alors là pas de repos du tout! Il a fait très froid et comme je suis une skieuse moyenne mais très peureuse, j'ai beaucoup de mal à me réchauffer choisissant toujours des pistes trop faciles. Je n'aime pas beaucoup le ski mais pourtant j'adore les vacances "au ski"!  Le grand bol d'air (glacial) m'a fait du bien... l'absence des petits aussi, faut être honnête!

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3 sur 5 sur fond de Mont Blanc!

Merci spécial à la famille des Serins pour l'adresse du chalet et leurs affaires de ski dans lesquelles on a allègrement pioché!

15 février 2010

Tricheuse

J'avais un peu triché et anticipé la série des "manques"... Le virtuel peut être trompeur!
Et chuuuuuut! En fait ils ne m'ont même pas trop manqué!
On repart quand?

13 février 2010

Manque 4

Quand je ne les entends plus et que je les découvre en train de faire ensemble une bêtise! Souvent Thomas sursaute à mon arrivée... ils savent toujours très bien ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas!

Bon anniversaire frangin! (Même si tu ne regardes jamais mon blog!!!)

12 février 2010

Manque 3

La joie de Lucile et Thomas à l'arrivée des grands. Le bonheur que je lis dans leurs yeux.
Les sourires charmeurs (et un peu forcés) de Thomas aux copines des filles.
Lucile collée à son Papa et qui repousse quiconque ose essayer de le lui piquer! (Œdipe!!!)

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